Un groupe de défense des droits humains demande 1 million de dollars de dommages et intérêts pour « discrimination » en vertu du projet de loi 96
La refonte de la loi linguistique du Québec « a fracturé notre société, approfondissant les divisions et légitimant la discrimination ».
Auteur de l'article : Andy Riga
Publié le 21 août 2024 • Dernière mise à jour il y a 13 heures • 3 minutes de lecture
Un groupe montréalais a déposé une plainte en matière de droits de la personne concernant la refonte de la loi linguistique du Québec, réclamant 1 million de dollars de dommages-intérêts au gouvernement provincial pour « l'impact discriminatoire généralisé du projet de loi 96 ».
La Coalition rouge, un groupe de défense des droits de la personne, a déclaré avoir déposé mardi une plainte auprès de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
«Le projet de loi 96 a fracturé notre société, approfondissant les divisions et légitimant la discrimination», a déclaré Joël DeBellefeuille, fondateur et directeur général du groupe, dans un communiqué.
« Cette plainte ne vise pas seulement à demander des comptes au gouvernement. Il s'agit de guérir notre communauté et de réaffirmer les principes d'égalité et de respect qui devraient définir le Québec.
Le projet de loi 96, devenu loi en juin 2022, constitue la plus grande refonte de la réglementation linguistique québécoise depuis l'adoption du projet de loi 101, officiellement connu sous le nom de Charte de la langue française, en 1977.
Le projet de loi 96 touchait entre autres choses à l'inscription au cégep, au fonctionnement des entreprises, au fonctionnement du système judiciaire et à qui peut recevoir des services gouvernementaux en anglais.
La plainte de sept pages de la Coalition rouge à la Commission des droits de la personne du Québec nomme comme défendeurs le parti au pouvoir Coalition Avenir Québec, ainsi que le premier ministre François Legault, le ministre de la Justice Simon Jolin-Barrette, le ministre de la Langue française Jean-François Roberge et Christopher Skeete, le ministre responsable de la lutte contre le racisme.
« Depuis son introduction, le projet de loi 96 a déclenché de nombreux différends en ligne et des conflits quotidiens dans les espaces publics, les écoles, les lieux de travail et d'autres domaines d'interaction sociale », a déclaré la Coalition rouge à la commission.
« La loi a créé une division marquée entre la communauté francophone et les résidents anglophones, ainsi qu'entre ceux dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais.
« La discrimination qui en a résulté est non seulement manifeste, mais elle s’intensifie également, les deux parties exprimant de plus en plus leur mépris l’une envers l’autre. »
Le groupe a déclaré que le projet de loi 96 « a également contribué à des pratiques discriminatoires qui s’étendent au-delà de la langue, se transformant en préjugés fondés sur la race, l’origine ethnique et la religion. Le tissu sociétal du Québec s’effrite, la loi alimentant l’animosité plutôt que favorisant l’unité.
Il a déclaré que les Québécois ont été « harcelés et ridiculisés sur les plateformes de médias sociaux pour avoir exprimé leur point de vue sur le projet de loi 96 ou défendu les droits linguistiques, violant ainsi leur droit à la libre expression et à la protection contre le harcèlement fondé sur la langue ».
Il a également souligné une nouvelle directive controversée du ministère de la Santé du Québec concernant les personnes pouvant recevoir des services de santé en anglais.
La Coalition rouge a déclaré que la directive crée « un système à deux niveaux dans lequel une classe de citoyens est traitée différemment en fonction de la langue.
"Cette pratique est particulièrement dangereuse dans les situations d'urgence sanitaire où une communication claire est vitale et a donné lieu à de nombreux rapports selon lesquels des personnes se voient refuser des services, tant en personne qu'au téléphone, en raison de leur incapacité à communiquer en français", a déclaré le groupe.
La Coalition rouge a demandé à la commission d'enquêter « sur l'impact sociétal du projet de loi 96, avec un accent particulier sur les dimensions de la discrimination linguistique vécue par les communautés francophones et non francophones du Québec ».
Il demande à la commission de déclarer que le Québec, « en adoptant et en appliquant le projet de loi 96, a violé les droits et libertés fondamentaux protégés par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, notamment le droit à l'égalité, à la dignité et à la non-discrimination fondée sur la langue. .»
Il demande 1 million de dollars de dommages-intérêts punitifs à distribuer aux « organisations et individus qui défendent les droits et libertés des citoyens du Québec, y compris ceux qui défendent les communautés françaises, anglophones et non anglophones ».
Le gouvernement Legault a invoqué de manière préventive la clause dérogatoire de la Constitution pour protéger le projet de loi 96. La clause permet aux gouvernements de passer outre à certains droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés.
Plusieurs poursuites arguant que le projet de loi 96 est inconstitutionnel sont en cours devant les tribunaux.
Auteur de l'article : Andy Riga
Publié le 21 août 2024 • Dernière mise à jour il y a 13 heures • 3 minutes de lecture
Un groupe montréalais a déposé une plainte en matière de droits de la personne concernant la refonte de la loi linguistique du Québec, réclamant 1 million de dollars de dommages-intérêts au gouvernement provincial pour « l'impact discriminatoire généralisé du projet de loi 96 ».
La Coalition rouge, un groupe de défense des droits de la personne, a déclaré avoir déposé mardi une plainte auprès de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
«Le projet de loi 96 a fracturé notre société, approfondissant les divisions et légitimant la discrimination», a déclaré Joël DeBellefeuille, fondateur et directeur général du groupe, dans un communiqué.
« Cette plainte ne vise pas seulement à demander des comptes au gouvernement. Il s'agit de guérir notre communauté et de réaffirmer les principes d'égalité et de respect qui devraient définir le Québec.
Le projet de loi 96, devenu loi en juin 2022, constitue la plus grande refonte de la réglementation linguistique québécoise depuis l'adoption du projet de loi 101, officiellement connu sous le nom de Charte de la langue française, en 1977.
Le projet de loi 96 touchait entre autres choses à l'inscription au cégep, au fonctionnement des entreprises, au fonctionnement du système judiciaire et à qui peut recevoir des services gouvernementaux en anglais.
La plainte de sept pages de la Coalition rouge à la Commission des droits de la personne du Québec nomme comme défendeurs le parti au pouvoir Coalition Avenir Québec, ainsi que le premier ministre François Legault, le ministre de la Justice Simon Jolin-Barrette, le ministre de la Langue française Jean-François Roberge et Christopher Skeete, le ministre responsable de la lutte contre le racisme.
« Depuis son introduction, le projet de loi 96 a déclenché de nombreux différends en ligne et des conflits quotidiens dans les espaces publics, les écoles, les lieux de travail et d'autres domaines d'interaction sociale », a déclaré la Coalition rouge à la commission.
« La loi a créé une division marquée entre la communauté francophone et les résidents anglophones, ainsi qu'entre ceux dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais.
« La discrimination qui en a résulté est non seulement manifeste, mais elle s’intensifie également, les deux parties exprimant de plus en plus leur mépris l’une envers l’autre. »
Le groupe a déclaré que le projet de loi 96 « a également contribué à des pratiques discriminatoires qui s’étendent au-delà de la langue, se transformant en préjugés fondés sur la race, l’origine ethnique et la religion. Le tissu sociétal du Québec s’effrite, la loi alimentant l’animosité plutôt que favorisant l’unité.
Il a déclaré que les Québécois ont été « harcelés et ridiculisés sur les plateformes de médias sociaux pour avoir exprimé leur point de vue sur le projet de loi 96 ou défendu les droits linguistiques, violant ainsi leur droit à la libre expression et à la protection contre le harcèlement fondé sur la langue ».
Il a également souligné une nouvelle directive controversée du ministère de la Santé du Québec concernant les personnes pouvant recevoir des services de santé en anglais.
La Coalition rouge a déclaré que la directive crée « un système à deux niveaux dans lequel une classe de citoyens est traitée différemment en fonction de la langue.
"Cette pratique est particulièrement dangereuse dans les situations d'urgence sanitaire où une communication claire est vitale et a donné lieu à de nombreux rapports selon lesquels des personnes se voient refuser des services, tant en personne qu'au téléphone, en raison de leur incapacité à communiquer en français", a déclaré le groupe.
La Coalition rouge a demandé à la commission d'enquêter « sur l'impact sociétal du projet de loi 96, avec un accent particulier sur les dimensions de la discrimination linguistique vécue par les communautés francophones et non francophones du Québec ».
Il demande à la commission de déclarer que le Québec, « en adoptant et en appliquant le projet de loi 96, a violé les droits et libertés fondamentaux protégés par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, notamment le droit à l'égalité, à la dignité et à la non-discrimination fondée sur la langue. .»
Il demande 1 million de dollars de dommages-intérêts punitifs à distribuer aux « organisations et individus qui défendent les droits et libertés des citoyens du Québec, y compris ceux qui défendent les communautés françaises, anglophones et non anglophones ».
Le gouvernement Legault a invoqué de manière préventive la clause dérogatoire de la Constitution pour protéger le projet de loi 96. La clause permet aux gouvernements de passer outre à certains droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés.
Plusieurs poursuites arguant que le projet de loi 96 est inconstitutionnel sont en cours devant les tribunaux.
Avertissement:
La section Communiqués de presse du site Web de Red Coalition Inc. présente des logos et du contenu provenant de divers médias. Le contenu de cette section provient directement de communiqués de presse et d'articles originaux. Une attribution appropriée est attribuée aux auteurs originaux et aux médias, y compris à leurs logos, afin de maintenir la transparence et le respect de leur travail.
Notre intention est uniquement de fournir à notre public un accès à des informations et des actualités pertinentes. Nous ne revendiquons pas la propriété du contenu et n'avons pas l'intention de violer les droits ou les droits d'auteur des médias d'origine. Si vous avez des préoccupations concernant l'utilisation du contenu, veuillez nous contacter et nous réglerons le problème dans les plus brefs délais.
Articles de
La Coalition rouge demande la création urgente d’une loi antiraciste au Québec
Le 16 septembre 2024
Un homme de la région de Toronto porte plainte contre la police de Laval pour détention violente
Le 11 septembre 2024
« Je ne peux pas respirer, les gars » : un Ontarien accuse la police du Québec d'avoir fait un usage excessif de la force
Le 11 septembre 2024
Un homme affirme que la police de Laval aurait fait un usage excessif de la force lors de son arrestation
Le 11 septembre 2024
Un homme affirme que la police de Laval aurait fait un usage excessif de la force lors de son arrestation
Le 10 septembre 2024
Archive
2024
Janvier
Juillet
Août
La Coalition Rouge Inc. dépose une plainte en matière de droits de la personne d'un million de dollars contre le gouvernement du Québec concernant l'impact discriminatoire du projet de loi 1Un groupe de défense des droits humains demande 1 million de dollars de dommages et intérêts pour « discrimination » en vertu du projet de loi 96Plainte d'un million de dollars en matière de droits de la personne déposée contre le gouvernement du Québec concernant le projet de loi 1 Une plainte en matière de droits de la personne contre le projet de loi 96 demande 1 M$ de dommages au gouvernement du QuébecLa Coalition rouge dépose une plainte contre le Québec concernant le projet de loi 96
Septembre
Une nouvelle vidéo montre une brutalité policière inquiétante contre un homme noir à LavalUn homme affirme que la police de Laval aurait fait un usage excessif de la force lors de son arrestationUn homme de Toronto porte plainte contre la police de Laval, au Québec, après une arrestation violente filméeUn homme affirme que la police de Laval aurait fait un usage excessif de la force lors de son arrestation« Je ne peux pas respirer, les gars » : un Ontarien accuse la police du Québec d'avoir fait un usage excessif de la forceUn homme de la région de Toronto porte plainte contre la police de Laval pour détention violenteLa Coalition rouge demande la création urgente d’une loi antiraciste au Québec
2023
Janvier
La famille de l'homme demande une enquête sur le racisme systémiqueLa famille d'un homme de Montréal tué alors qu'il était illégalement emprisonné veut une enquête sur le racisme systémiqueEnquête sur le racisme systémique demandée par la famille d'un homme décédé après avoir été aspergé de gaz poivré à la prison de BordeauxUN GROUPE ANTIRACISTE RÉCLAME UNE ENQUÊTE PUBLIQUE SUR LA MORT DU DÉTENU DE BORDEAUXDétenu mort à la prison de Bordeaux : une coalition exige plus de transparence sur le milieu carcéralUn groupe de pression demande une enquête publique et la diffusion d'une vidéo sur la mort d'un homme à MontréalUne coalition réclame la publication de la vidéo de l'interventionUn groupe de défense des droits civiques demande une enquête sur la mort d'un homme noir de 21 ans emprisonné illégalementUn groupe antiraciste demande la diffusion d'une vidéo en lien avec la mort à la prison de MontréalUn groupe de pression demande une enquête publique sur la mort d'un homme à MontréalUn groupe de défense des droits demande une enquête publique sur la mort d'un homme dans la prison de MontréalUn groupe antiraciste affirme que le Québec a dit à la police de Longueuil d'ignorer l'ordonnance du tribunal sur le profilage racialAllison Hanes : la mort en prison à Montréal exige des réponses urgentesCoalition rouge: le ministère du Québec a dit à la police de Longueuil de défier l'ordonnance du tribunal sur le profilage racialQuébec a dit à la police de Longueuil de ne pas tenir compte de l'ordonnance du tribunal sur le profilage racial, selon un groupe antiracisteUn groupe de défense des droits civiques accuse le Québec de dissimuler des données policières fondées sur la raceQue s'est-il passé à Bordeaux ?Enquête publique sur la mort d'un homme à la prison de MontréalUne enquête publique ordonnée sur la mort en prison d'un Montréalais détenu illégalementIl y aura une enquête publique du coroner sur la mort de Nicous SpringLe coroner ordonne une enquête publique sur la mort d'un homme à MontréalLe coroner en chef ordonne une enquête publique sur la mort d'un jeune de 21 ans détenu illégalement à la prison de BordeauxLa Coalition rouge demande une enquête sur le racisme systémique dans les prisons du QuébecLe chef du syndicat de la police dit au nouveau chef de Montréal: pénurie de personnel 1er, police communautaire 2eLe coroner en chef ordonne une enquête publique sur la mort de Nicous SpringPROFILAGE RACIAL : UNE PLAINTE OFFICIELLE DÉPOSÉE CONTRE LA VILLE DE LONGUEUILLa Coalition allègue un outrage au tribunal contre LongueuilPROFILAGE RACIAL : « LA CAQ DOIT TENIR SES PROMESSES », ESTIME LA COALITION ROUGEDes groupes lancent le Mois de l'histoire des Noirs avec des mesures pour lutter contre le racisme
Février
Cas de racisme et de cyberintimidation au Collège Bourget de RigaudUn groupe dit qu'une école privée près de Montréal a ignoré les plaintes de racismeDes sœurs québécoises ont peur d'aller à l'école, disent que les plaintes de racisme sont ignoréesLes appels se multiplient pour changer les rues portant le nom de Christophe Colomb sur l'île de MontréalUn groupe antiraciste accuse une école de la région de Montréal de racisme systémiqueD'éminents Québécois expriment leur soutien au représentant anti-islamophobie de TrudeauDes groupes noirs antiracistes lancent des volées de lob au Canada et au QuébecRACISME ET CYBERINTIMIDATION : LE COLLÈGE BOURGET MIS EN DEMEUREUn citoyen souhaite «annuler» Christophe Colomb à Pointe-ClaireDes Québécois en vue plaident pour que le représentant fédéral anti-islamophobie ait sa chancePétition contre le projet de loi 21 déposée à l'Assemblée nationaleLa confrérie des policiers de Montréal dit qu'il est trop facile de blâmer ses membres pour le profilage racialLongueuil et d'autres services de police du Québec tardent à mettre en œuvre un cadre de données basé sur la raceAucune accusation ne sera portée contre les policiers qui ont tué Junior OlivierAppels à la responsabilité de la police alors que les officiers qui ont tué par balle Jean René Olivier ne font face à aucune accusationManque de soins sur la propriété Loyola "inacceptable":DeBellefeuilleUn exemple de « racisme systémique », dénonçant des associationsUn spectacle pour enfants sème la controverse dans l'ouest de MontréalDes groupes appellent pour annuler le spectacle de marionnettes mettant en vedette un personnage de ménestrelLe jeu local de Montréal se poursuit malgré la colère suscitée par une marionnette controverséeLa famille d'un homme noir tué par la police de Repentigny intente un procès à la ville pour 430 XNUMX $ de dommages et intérêtsLa mère de Jean-René Junior Olivier, abattue par des policiers de Repentigny en août 2021, a déposé une poursuite contre la Ville de RepentignyLa mère de Jean-René Junior Olivier poursuit la Ville de RepentignyLa famille d'un homme tué par la police de Repentigny annonce une poursuite imminente
Mars
Un groupe antiraciste affirme que la police de Montréal a retenu les conclusions d'un rapport sur le profilage racialLa Coalition rouge allègue que le SPVM a retenu des conclusions sur le profilage racialUN GROUPE ANTIRACISTE AFFIRME QUE LE SPVM A RETENU LES CONCLUSIONS D'UN RAPPORT SUR LE PROFILAGE RACIALCet immeuble condamné met à nu le système de logement social en ruine de MontréalLa Ville de Longueuil fait face à des accusations d'outrage liées au profilage racial de la policeLE PROFILAGE RACIAL EXERCÉ PAR LA POLICE DANS LA MIRE DU MINISTRE BONNARDELLe projet de loi québécois sur les pratiques policières critiquéPlainte éthique déposée contre le président du comité exécutif de Montréal"Smokescreen; un spectacle de chiens et de poneys"Ville de Longueuil, Qué. obtient le report des accusations d'outrage au tribunal
Mai
Le conseil d'administration de Pearson nie les allégations de racisme systémique et d'agressionAllégations de discrimination et de racisme à l'école primaire de la région de MontréalPlaidoyer pour l'intégration des résidents permanents dans les corps policiers du QuébecPlaidoyer pour insérer des résidents permanents au sein des corps policiers québécoisPolicier au Québec : un métier encore fermé aux résidents permanents
Juillet
Coalition rouge au SPVM : modifier la politique des arrêts aléatoiresLa Coalition rouge demande à la police de Montréal de revoir sa politique sur les contrôles de routineUn groupe de pression veut recenser l'ethnicité des personnes interpelléesLa Coalition rouge presse le SPVM de « réviser » sa politique d'interpellationUn groupe antiraciste veut que la police de Montréal revoie la politique des contrôles de rueUn résident de Kirkland dit qu'il a été arrêté à NDG parce qu'il était noir« Moment inhabituel pour conduire » : un groupe antiraciste demande à la police de Montréal de modifier les contrôles de rueLa police de Laval menotte et fouille illégalement la maison d'un militaire noir après un contrôle de rue: Red CoalitionUn ingénieur en aérospatiale militaire dit avoir été victime de profilage racial par la police de LavalUn homme de Laval accuse la police de profilage racial et compte porter plainte pour atteinte aux droits humains
Catégories
pas de catégories